1) la calvitie acnéïque
Voilà ce que je trouve sur un site (VDM) qui permet à ses utilisateurs de partager des histoires pas toujours sympathiques qui leur arrivent. Celle-ci décrit parfaitement un processus naturopathique.
En effet, chez l'homme, la perte de cheveux est liée à un processus de déminéralisation; derrière ce processus on retrouve une acidification des tissus de l'organisme. Dans son intelligence, le corps essaye
d'évacuer cette "toxémie" (mot définissant ce qui encombre l'organisme, y.c. ces acides en question).
Comme la nature est bien faite (mais pas pour l'esthétisme masculin dans ce cas précis), ce sont d'abord les zones les moins utiles qui vont être sacrifiées. Dans le cas de cette personne, on voit bien qu'un fois le cheveu tombé, le corps s'évertue à continuer
de vouloir se libérer en "sortant" de la matière à la peau, processus fortement documenté en naturopathie.
Bien entendu, la calvitie a bien d'autres origines que l'acidité, mais dans le cadre de cette histoire, la dynamique que l'on observe tend à argumenter pour cette réflexion
2) Le massage détente et la dystonie
Cette seconde histoire est très intéressante pour mettre en évidence les déséquilibres qui peuvent exister au sein de notre système nerveux, lorsque celui-ci a été trop fortement sollicité.
Cette histoire met en évidence les efforts tentés par le corps pour rééquilibrer ce système nerveux, fortement malmené chez cette patiente
Cette dame est suivie pour un épuisement, associé à un phénomène de stress ingéré, qui la dépasse. Elle remarque que lorsqu'elle fait un soin relaxant, de la gym-détente, son système digestif se met
brutalement en route.
Ceci illustre parfaitement un cas de dystonie neuro-végétative, où l'équilibre entre les 2 systèmes nerveux (l'orthosympathiqe, qui dynamise et le parasympathique, qui freine) est rompu.
Lorsque l'un est trop fortement sollicité, l'autre va "pousser" plus fort pour se faire entendre. Le système digestif étant principalement sous la commande du parasympathique, lorsque
celui-ci a la possibilité de s'exprimer (suite à un soin relaxant ou une activité calmante, qui le recrute), il va fortement s'exprimer, ce qui fait réagir tout le système digestif chez cette personne, zone de fragilité chez elle.
On retrouve cela également lors des examens d'école, avec des besoins impérieux; c'est à nouveau le système parasympathique qui essaye de se manifester, pour rééquilibrer le déséquilibre engendré par l'excès de stress, qui stimule l'orthosympathique.
Je retrouve aussi cette notion chez cette personne, qui ne déjeune pas le matin, qui est stressée en matinée, et qui a une "vidange" immédiatement après le repas. Si l'on combine
son stress au stress hypoglycémique (ne mange pas le matin et fume en matinée), à la nécessité qu'a la digestion à se passer en "mode parasympathique", dès qu'un aliment arrive dans l'estomac, tout le système est surstimulé, en réponse au déséquilibre qui précédait, d'où la fameuse vidange.
3) Après les fètes…
Que se passe-t-il après plusieurs jours bien nourris, en aliment plutôt riches ? Vous vous sentez plus fatigué, l’abdomen plus chargé à l’intérieur, et l’impression d’être gonflé se reflète à l’extérieur. Votre peau est plus grasse ou plus sêche, et vous pouvez avoir des boutons. Vous avez un peu mal au dos, il faut s’étirer ca semble congestionné…
Tout ceci sont le témoins d’une surcharge métabolique, et la mise en état inflammatoire du corps, qui souffre. Les eczémas peuvent ressortir, la peau gratte, on ballone. Suivant la typologie de la personne et le type de symptômes, on peut déjà imaginer quel est l’organe d’élimination qui témoignes de signes de surcharges (les colles et cristaux propres à la naturopathie de terrain).
Pour confirmer ce raisonnement, le naturopathe va aller chercher dans l'anamnèse, le bilan de vitalité, les signes iridologiques les liens entre ce que vous manifestez comme terrain (=fragitlités) et leur fragilités permettant l'expressoin de ces dynamiques de santé par des symptomes spécifiques.
Cela permet de non pas centrer le traitement sur les symptomes, mais de les considérer comme l'expression d'une dysfonction à identifier sur la base de ce que l'on connait comme spécificités de la personne.
Par exemple, un jeune adolescent mince, pâle, souvent "mal fichu" est à priori d'un type dit "tuberculinique", soit ayant une fragilité au niveau pulmonaire et ORL le prédisposant à souvent avoir des manifestations symptomatiques à ce niveau (rhume, bronchite, angines).
Ceci permet non pas de le soigner localement pour un rhume, une angine, mais de le traiter au niveau du son immunité et de sa tendance à avoir des manifestations infectieuses.